Depuis 1987, marcal signalétique réalise des systèmes d’information signalétique qui ont fait l’objet d’une attention particulière de la part d’architectes, de graphistes et d’utilisateurs exigeants qu’il s’agisse de travailler les contenus, travailler les formes, travailler les matériaux ou les couleurs pour maîtriser l’intensité des signes.
Média d’un genre particulier, la signalétique doit se satisfaire de l’accès à un seul de nos cinq sens : la vue. C’est le sens le plus sollicité chez l’homme en mouvement, ce qui en rend l’accès plus difficile. Trop discrète, la signalétique ne remplit pas sa fonction, trop imposante, elle est préjudiciable à la lecture de l’espace.
Le média signalétique doit identifier le récepteur et l’émetteur des messages qu’elle véhicule (qui parle et à qui). Elle composera avec le bâti pour délivrer au “récepteur” des messages d’accueil, d’orientation, d’information et d’identification. Partie intégrante du bâtiment, la signalétique se limite à en souligner l’organisation et la fonction en tenant compte de ses occupants permanents et occasionnels. Trop présente elle sature le résidant, trop légère, elle irrite le visiteur.
Structurellement rattachée au bâti, fonctionnellement dépendante de son “émetteur”, la signalétique doit avoir la pérennité de l’objet construit et le potentiel évolutif d’un contenu organique. Trop pérenne, elle devient vite obsolète, trop volatile, elle perd son crédit.
Depuis 1987, marcal explore ce média pour proposer des solutions, tant en terme de produits que de conseils. marcal s’est associé à des architectes, des designers et des graphistes de grand talent pour élaborer des produits de très haute qualité. Une qualité qui se juge par le choix de matériaux d’une durabilité optimale et par un design industriel exigeant qui ne hiérarchise pas fonction et esthétique.
Depuis 2005, date de promulgation de la loi française dite “loi handicap”, marcal signalétique a concentré son travail sur la déficience visuelle en créant le concept du “full access”. Le “full access” est la prise en compte des handicaps visuels et cognitifs dans la définition des programmes signalétiques. L’objectif n’étant pas de créer un système supplémentaire parallèlement aux systèmes en place mais bien de rechercher des convergences. Chercher en quoi l’adaptation à la déficience visuelle améliore la qualité du système pour l’ensemble du public.